Aurélien PASCAL

© Bruno Tocaben

 

A seulement 24 ans, le violoncelliste français Aurélien Pascal suscite l’attention internationale pour sa « virtuosité sans pareille et sa musicalité intuitive » (The Strad). Révélation soliste instrumentale aux Victoires de la Musique Classique en 2023, Aurélien Pascal est né à Paris en 1994  dans une famille de musiciens. Il est révélé sur la scène internationale en 2014 après son succès au Concours Emanuel Feuermann à la Philharmonie de Berlin (Premier prix et Prix du Public). Par ailleurs Deuxième Prix au Concours Helsinki, il se distingue aussi lors du dernier Concours Reine Elisabeth où il est le plus jeune finaliste.

 

Invité soliste des plus grands orchestres, c’est un chambriste recherché qui se produit avec de nombreux musiciens, dans les meilleurs festivals. Après avoir étudié auprès de Philippe Müller, il suit les masterclasses du légendaire János Starker à Paris, Bâle et Bloomington, et se perfectionne auprès de Frans Helmerson et de Gary Hoffman à l’Académie Kronberg en Allemagne. Le violoncelliste se produit régulièrement en soliste avec de grands orchestres à travers l’Europe, joue aux côtés de chefs tels que Vladimir Fedoseyev, Pascal Rophé, Christoph Poppen, etc.

 

En récital, on a pu l’entendre dans les festivals les plus prestigieux tels que Verbier, Colmar, Prades, les Flâneries de Reims, Les Folles Journées, le Festival de Radio-France à Montpellier, les Rencontres Musicales d’Evian, avec des partenaires à l’instar du pianiste Alexandre Kantorow et de la violoniste Liya Petrova, avec lesquels il fonde un Trio et co-dirige le Festival Les Rencontres musicales de Nîmes qui fête cette année ses quatre ans, du  Quatuor Modigliani, de Pavel Kolesnikov, Christian Tetzlaff, Augustin Dumay, András Schiff, Adrien La Marca et d’Emmanuel Pahud.

 

Sa discographie comporte le Trio de Ravel avec Denis Pascal et Svetlin Roussev, ainsi que le Sextet de Brahms avec Augustin Dumay, Henri Demarquette et Miguel da Silva. Un dernier CD regroupe des œuvres de Dohnanyi et Kodaly. Aurélien joue le « Maisky », fabriqué à Rome en 1703.